Caractérisée par la dictature de la communication en temps réel et par l’explosion des réseaux sociaux, notre époque laisse a priori peu de place à l’écrivain. Cette place, il doit se la faire lui-même. A lui, donc, le redoutable défi de s’imposer dans un contexte où l’immédiateté et l’émotion prennent souvent le pas sur la réflexion. Pour autant, les idées comme la réflexion n’empêchent pas les saillies, les humeurs voire, pour parler le langage actuel, la proactivité et l’interactivité. C’est la vocation même de ce blog.

Beaucoup de mes écrits ont été consacrés à l’actualité internationale, qu’il s’agisse d’Israël, du Proche-Orient et surtout des Etats-Unis, mon thème de prédilection. D’autres concernent la France et sa politique, des premières amours qu’on n’oublie pas si facilement et qui se rappellent volontiers à notre souvenir. Plus récemment, mes préférences m’ont conduit à vagabonder sur d’autres chemins, plus improbables encore : le monde du spectacle et le show-business qui reflètent d’une manière saisissante les aspirations et les illusions de nos sociétés.

Tels sont les thèmes principaux, quoique non exclusifs, que je me propose d’aborder avec vous, semaine après semaine, dans le lieu d’échange privilégié qu’est ce blog. Il va de soi que je ne me priverai aucunement d’aborder d’autres sujets qui me tiennent à cœur. Je le ferai à ma manière : directe et sans concession, parfois polémique mais toujours passionnée. Tant il est vrai que, dans ses turbulences même, la passion est la sœur jumelle de la sincérité.

lundi 2 juin 2014

Musulmans de tous les pays, méfiez-vous !


Certains d'entre vous, honorables croyants du prophète Mahomet, seront sûrement tentés par l’Occident et notamment par l’Europe, comme l'ont déjà été nombre de vos frères. Ah ! L'Europe et ses protections sociales qui sonnent comme des incongruités sous d'autres latitudes. L'Europe et ses avantages si attachants, ses privilèges, ses aides et subventions en tous genres.

Comment ne pas être tenté, en vérité ? Il n'est qu’à considérer notre pays, la France, pour comprendre à quel point il peut fasciner. Pas les chefs d'entreprise, les créateurs, les cerveaux ou les gens d’initiative, c’est évident. Mais enfin les autres, tous les autres, les sans diplômes ou sans qualifications ; ceux qui cherchent encore à nous faire payer la colonisation ; ou encore ceux qui se déclarent invariablement « réfugiés politiques » parce que cela permet de tenter sa chance auprès de l’OFPRA.

Les damnés de la terre comme les profiteurs en sont parfaitement conscients. La soupe, fût-elle populaire, est si bonne en France, elle est même vantée par les pouvoirs publics au cas où il viendrait à manquer des candidats à l'immigration : cette future clientèle de la gauche lorsqu’elle se décidera à octroyer le droit de vote aux étrangers. Quant à ceux qui viendraient à s’offusquer d’une générosité aussi aveugle, ils n’auraient d’autre ressource que de se cacher, flétris par le procès en xénophobie et en racisme que ne manqueraient pas de leur intenter les (trop) fameuses « associations », vous savez ces machins autoproclamés qui donnent désormais le ton en France.

Tous ces avantages sont bien réels, c’est un fait. Mais nos amis musulmans – qui forment le gros des bataillons d’immigrés – auraient tort de se croire arrivés au pays de cocagne. En particulier, ont-ils bien soupesé tous les risques d'une installation en France, fût-elle clandestine ?

Car enfin, il serait salubre de les éclairer, de les prévenir qu’à l’école de la république où ils devront scolariser leurs enfants (première étape obligée du droit au séjour) on leur instillera sournoisement la théorie des genres. Les collèges conseilleront même aux garçons de porter la jupe, comme vient de l’encourager le rectorat de Nantes sans que le ministère de l’éducation – qu’il serait plus exact de rebaptiser « ministère de la rééducation » - n’y trouve à redire.

Il est vrai qu’il serait assez cocasse d’imaginer ces fameux "grands frères" portant la jupe. Ils auraient bonne mine, nos barbus et nos dealers des quartiers ! Quant à leurs sœurs, peut-être bien qu’elles finiraient par se mettre en tête – horresco referens – des idées délétères d’égalité ou de libération de la femme. Amis musulmans de l’immigration, seriez-vous prêts à sacrifier votre âme, à troquer vos valeurs traditionnelles contre un plat de lentilles, en venant vous établir chez nous ?

Pis encore pour vous, ce ne serait pas beaucoup mieux dans le reste de l’espace européen. La récente victoire à l'Eurovision du travesti autrichien Conchita Wurst montre bien dans quel état de décrépitude et de déliquescence est tombée l'Europe pour se conformer à un politiquement correct forgé par des minorités hyper-agissantes. Un Vieux Continent qui n’en finit plus de s’auto-flageller depuis un siècle – depuis cette guerre de 1914 dont on célèbre le centenaire – pour n’avoir plus voix au chapitre. Une Europe qui se liquéfie dans la repentance et les bonnes intentions, que les Américains n’écoutent plus et qui fait bien rigoler les théoriciens de l’Islam comme Tarik Ramadan au même titre que Poutine ou que les dirigeants chinois.

Non, décidément, hormis tous ces avantages matériels dont elle reste prodigue, l’Europe n’a plus à offrir que le spectacle désolant de sa propre déchéance et de sa capitulation face à ceux qui ne rêvent qu’à sa perte. C’est bien cette Europe-là, malgré les rodomontades de ses experts bruxellois et les jérémiades de ses candides de tout poil, qui est en train de sortir de l’histoire et non pas ceux qui votent contre elle. Et ce n’est pas demain la veille que, dans les foyers qui se tournent vers la Mecque, on aura pour livre de chevet « Mohammed porte la jupe ». Pour le coup, doit-on vraiment le déplorer ?  

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